samedi 18 décembre 2010

In-nocence du Monde?

Par souci de vérité et d'impartialité, je reproduis ici le communiqué du parti de l'In-nocence présidé par Renaud Camus, écrivain, romancier, essayiste, diariste. Je n'ai aucun lien avec ce parti, je précise. L'horreur de la mauvaise fois, des procès d'intention, des mensonges, de la médisance, de la désinformation, coutumières de notre époque, et surtout dans ses organes, voués par devoir, précisément, à l'information, est ma seule motivation.


Communiqué n° 1151, vendredi 17 décembre 2010
Sur une bassesse du journal  Le Monde
Le parti de l'In-nocence souligne que le journal Le Monde, au lendemain de la révocation d'Eric Fottorino de ses fonctions de président du directoire du groupe Le Monde, inaugure une nouvelle phase de son histoire par une bassesse qui rassurera ceux qui craignaient une trop abrupte rupture avec la tradition du journal. Prétendant traiter de l'ouvrage De l'In-nocence, le journal, en intitulant son article "Renaud Camus, candidat de l'Occident" — quand on connaît les connotations de ce dernier terme dans l'histoire politique moderne de notre pays —, expose clairement sa volonté de nuire et de désinformer. C'est d'autant plus éclatant que dans un entretien que Le Monde, selon ses méthodes coutumières, s'est bien gardé de publier, Renaud Camus, interrogé par un journaliste sur la signification pour lui de ce terme dont son parti et lui usent assez peu, avait répondu, pris par surprise, « l'amitié pour le soir » !

Le parti de l'In-nocence relève au demeurant que le corps de l'article, en qualifiant Renaud Camus de « romancier du moi (...) connu pour son exploration de la subjectivité homosexuelle » ne témoigne pas beaucoup plus que de cette méconnaissance hargneuse, insinuante et sûre d'elle dont l'ex-"journal de référence" s'est fait une spécialité, avec une constance haineuse, à l'égard de tous ceux qui ont un jour contesté sa déontologie et son autorité.


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